samedi 30 janvier 2010
L'Autre Dimension
jeudi 28 janvier 2010
Une solution pour les réfractaires
J'ai essayé par tous les moyens de maîtriser mes récalcitrants, gros derrière et ses copains, les jambons. J'ai susurré des mots doux, tenté de les amadouer "ça va aller les loulous, elle sont pas méchantes les vendeuses. Du 40 c'est pas la mer à boire". Non mais le comble ! Je m'en accommode, la rébellion ne viendrait pas d'eux, tout de même.
Premier essai...
- Ça taille petit, madame... (ça démarrait super mal)
- Je vais essayer quand même.
Je passe outre la séance de torture, pour arriver à la conclusion que oui, c'était trop petit. Dans ce cas-là, tu biaises, tu inventes une excuse (la coupe, la couleur, les poches, la matière...) le but étant de sortir de la cabine d'essayage, digne. Toujours !
Mais que fais-je ?
C'était sans compter sur le zèle de la vendeuse, qui glisse un oeil dans la cabine
-Juliiiie, t'aurais pas du 42 pour la dame ? En mode beuglante pour bien faire profiter les 8 personnes présentes!!!
Personne pour braire dans mes oreilles avec un regard de pitié. Une histoire intime entre mes rebelles et moi.
mardi 26 janvier 2010
Jeux d'écritures
samedi 23 janvier 2010
REFERENCE
p.s. Comme dirait mon amie Anaïk, "la culpabilité est mon fond de commerce..." Je précise que ce billet n'est aucunement sponsorisé. Je crois encore au partage d'informations et aux coups de coeur.
jeudi 21 janvier 2010
Les fantômes
Le blanc fantomatique ressorti de mes malles estivales, concrètement et abstraitement.
Sans rapport évident et parce que c'est dans l'air, l'époque Gainsbourg que les plus de 30 ans ont vécue...la liberté, l'audace, le risque, l'osé, les éclats ...
Ni regrets, ni remords mais la mélancolie a le droit, subrepticement de refaire surface.
mercredi 20 janvier 2010
Chaussure à son pied
Je pérore souvent, debout, sur un tas de fumier. Avec pour public, des poules, fort habituées à mes diatribes et qui scandent intérieurement ce proverbe "telle la girouette, elle ira où le vent l'emportera"....
Dans mes affirmations, certaines ont la dent dure (le comble pour une poule, non ?). Le talon aiguille est un appel au sexe, du bovarisme contemporain. Que les p'tits bouts de femmes d'1m60 en usent, c'est tout à leur honneur. Mais le mètre 70 bien dépassé, la démarche est moins altière (vous avez remarqué que les petites sont très droites, presque cambrées), souvent peu assurée, l'équilibre fragile. Que je disais avant de croiser ces bombasses !
Des chaussons cloutés. élégants. c'est un cadeau POUR nos 12 ans de mariage ce samedi (d'où la subtilité du titre en raccord avec des noces de soie).
Une autre de mes idées préconçues est : " JAMAIS, je n'achèterai de chaussures chez Zara. Bien, bien trop cher pour ce que c'est." Et c'est bien connu le bon marché... Grande adepte de la ballerine, et uniquement Repetto, voilà la soeur de la précédente. Plus pratique (bouh! le vilain mot modeux) et à 14 euros ! Fallait être folle pour ne pas tenter le coup.
Pour clore le chapitre de mes grandes théories, une dernière pour la route : "les souliers on les essaie, et c'est tout!". Que voulez-vous, une âme charitable a eu pitié de ma recherche de cavalières Somewhere et me les a offertes.
Croyez-moi elles me siéent aussi bien que si je les avais longuement dégustées en boutique.
Vous pourriez dire que question couleur je suis cohérente !
En fait je cherchais du "cognac"...
lundi 18 janvier 2010
Les improbables
Loafer Michaël Strass
Mon sentier de vie ne faisait que commencer : embarquer, séance tenante les "loafer Michael" de Repetto qui me donnent trop envie de moonwalker ou deux-trois chiffons Sandro à 50%... Un p'tit coup d'oeil chez mon copain hispanique a renversé la vapeur.
De portant en portant, je suis inassouvie d'importables, de trop vus. Du léo... on en peut plus. Je voudrais de la girafe mais elle tarde à pénétrer le territoire urbain, la bougresse. Du léo rouge, plus rock qui s'acoquine au tartan qu'on bouffe depuis je ne sais combien de saisons.
vendredi 15 janvier 2010
Casser du sucre
La blogo-mode est la catégorie dans laquelle j'ai délibérément (c'est fou, non?) décidé de me situer. Quand on entre dans une case, elle devient, un peu, ta famille. Et dans la famille, il y a bien ta petite cousine, dont la carrosserie charnelle est mieux faite que son cerveau, elle tient ça de sa mère, une "pièce rapportée"; il y a ta tante qui campe sur ses acquis, elle s'accroche, elle a peur de perdre sa place, elle n'a pas toujours raison, mais tu la respectes pour ce qu'elle a fait ; il y a ta belle-soeur qui aime beaucoup les sous et les cadeaux, en même temps ton demi-frère l'a quittée et elle doit nourrir ta nièce.
Même si la famille ce n'est pas le Paradis rose tous les jours, quand, un autre clan lui tape sur le dos, c'est un peu comme si c'était toi qu'on critiquait.... Voilà ce à quoi une bm (blogueuse mode!) doit faire face :
la bm est narcissique, cupide, et forcément stupide.
la bm doit prouver qu'elle est peut-être intelligente. Sur un blog littéraire, elle le serait naturellement.
la bm a trop de chance. C'est un support publicitaire niais et les marques la courtisent. Elle n'achète plus rien.
la bm croit aux courbettes et adule les comms "OMG". Si, par malheur, un comm agressif s'insinue, ce n'est que pure jalousie du commentateur.
la bm n'est pas solidaire des autres bm. Elle ne prend pas la peine de répondre aux mails, ni ne commente, ni ne soutient ses consoeurs.
la bm se trouve devant des dilemmes affreux. Choisir une robe noire ou noire, des boots ou des boots.
la bm n'a pas droit à un cadeau de Noël. On ne sait pas quoi lui offrir, elle dépense tellement. Ni cd, ni livre, ni fleurs. Elle n'aime que la frivolité.
Moi je dis qu'à force de mettre tous les oeufs dans le même panier, on finit par les casser.... :-)
Le très joli dessin qui entame ce post a été croqué ici, par ma talentueuse amie, Isabelle, d'Accro de la mode. Pour ceux qui ne connaissent pas encore son excellent blog, foncez lui rendre visite. Son oeil vif, son coup de crayon affûté saisit ce que nous, simples novices, ne captons pas. On y découvre : les femmes de 60 ans, les mamans, différentes nationalités, une ode (en plusieurs chapitres) aux gros derrières...
jeudi 14 janvier 2010
Robin & Darel
Avant même le lancement de la collection printemps/été 2010, son nom pendait à nos lèvres. Enfin aux claviers francophones....
Je pensais à une fille de..., à une Française. Darel a porté son choix sur une femme de caractère et ose une femme plus mûre, Robin Wright.
J'aime vraiment beaucoup le regard grave de cette femme. Quelque chose qui se dégage... Vous ne trouvez pas ?
Et il y en a une qui pourra bientôt palper le cuir du 24 H de Gérard Darel. C'est Kathleen et son comm laissé le 12 à 23 H 31. Je te laisse m'envoyer ton adresse rapidement à saravs9@hotmail.com. Bravo à toi !
mardi 12 janvier 2010
Les tiroirs à malices - Hélène Bruller
Hélène Bruller porte un t-shirt See by Chloé - Veste Agnès B. - Jean Notify - Boots Free-lance - Photo@ Lionel Flusin
Pour vous parler d'Hélène Bruller, je pourrais vous dire qu'elle est Parisienne, illustratrice et dessinatrice de talent. Que ces BD sont caustiques et piquantes, qu'elle a coécrit "Le guide du zizi sexuel" qu'elle a cherché le prince charmant, qu'elle s'est traitée de "salope" publiquement, qu'elle se moque de son entourage dans "Love" et j'en passe. Petite-fille de Jean Bruller dit Vercors , épouse de notre Zep national... Tout ça on le sait ou on peut le trouver facilement en la googelisant.
Dans "Les tiroirs à malices", c'est sous un autre jour qu'Hélène Bruller se dévoile. Son style et son allure me séduisent depuis longtemps. J'ai osé lui demander de démarrer cette nouvelle rubrique sans trop savoir si elle aimait vraiment la mode. Elle s'est révélée une vraie modeuse. Elle s'est livrée avec franc-parler, sans retenue, loquace, partageuse, entière, attachante. Comme dans ses livres, on devine quelques angoisses masquées sous un trait d'humour. Ses réponses sont pertinentes, brutes, explicites, pas chichiteuses pour un sou.
Craquante, Hélène Bruller! Je vous laisse en sa compagnie...
Votre héroïne est habillée "très adolescente" encore, sans connotation particulière à un genre, est-ce délibéré ?
Quand mon héroïne a attrapé son style vestimentaire, j'avais 12 ans de moins... C'est tombé à un retour de voyage de New-York. Je dessinais mes humeurs, comme d'habitude, et j'avais rapporté en souvenir, un t-shirt blanc à manches rouges, 3/4 raglan, avec un "I love NY" (le coeur à la place de love, comme le veut la tradition) sur le devant. J'ai mis des manches bleues à celui de mon personnage pour palier au fait que, par feignardise, j'ai omis le message de la poitrine. Ce style a tenu quelques années, mais du haut de mes 41 ans et de mon dressing d'aujourd'hui, (hé ouais ! A mon âge on gagne mieux sa vie. Dans quoi voulez-vous que je mette mon fric en dehors des fringues ??) je ne cesse de me dire que c'est un t-shirt de merde qu'elle porte. Mais que je l'ai échappé belle : vous imaginez la tronche de ma nana si je l'avais dessinée à un retour de voyage en Irak ?
J'imagine que pour votre dernière BD "Love", vous avez prêté très attention aux tenues, aux détails ou est-ce "autre chose" qui vous a marquée pour dessiner vos personnages ?
C'était très rigolo parce que j'ai dessiné 25 des personnes que j'aime (y en a une ou deux inventées et que je n'aime pas mais elles sont là quand même). En jetant sur le papier l'aspect physique que je leur attribuais dans mon esprit, je me suis aperçue que je n'ai eu aucune hésitation pour leurs vêtements. C'est comme ça que j'ai réalisé que je mémorise les personnes qui comptent pour moi avec un aspect physique et des expressions, mais aussi avec une fringue qui, à mes yeux, les représente.
Après une adolescence limite punk, quand avez-vous eu l'impression de trouver votre style ?
Je ne l'ai jamais trouvé. Toujours pas aujourd'hui. J'achète de trucs qui me plaisent tous styles confondus. Je me fous d'être hors mode et qu'on me matte comme si j'avais trois têtes dans la rue, je me fiche aussi d'être complètement à la mode et qu'on me matte comme une fashion victim, atteinte de jeunisme, Mais un mot relie toutes mes tenues et se précise d'année en année. Un mot qui me correspond, dans lequel je me sens bien et me plaît depuis ma petite enfance. Quand à 7 ans je regardais, envieuse, le pantalon de cuir et les santiags d'une fille de la cour. Ce mot c'est "rock". Je peux mettre une robe féminine ou un jean noir usé, un t-shirt AC/DC ou une jupe à volant, la pointe rock s'impose. Je ne sais même pas comment, mais maintenant c'est trop tard, c'est dans mes gênes.
Les bijoux ou les fringues ont-ils une histoire ou vous mettez et vous passez à autre chose ?
J'ai de tout : de l'affectif, de l'éphémère, du symbolique. Du "que je mettrai toujours", du "que je ne mettrai qu'un temps", du "que je viens d'acheter et que je ne mettrai jamais". Je déteste cette dernière catégorie, mais mes copines et ma frangine l'adorent : quand je finis par accepter que mon achat était encore une connerie compulsive, elles récupèrent des trucs neufs.
Est-ce que le vêtement peut vous rebooster ou, dans les mauvais jours, vous traînassez en jogging informe ?
Je déteste me laisser aller physiquement. Il arrive que je reste en pyjama une partie de la journée, par flemme, quand je suis malade ou un peu down. Mais je ne mets jamais VOLONTAIREMENT des habits de merde. Quitte à aller prendre ma douche pour me changer, autant mettre des fringues dignes. Même pour aller courir je ne mets pas n'importe quoi. Si je porte mon jogging American Apparel gris chiné, je ne mettrai pas un sweat gris chiné, surtout si c'est un gris différent d'une autre marque. Prendre le premier t-shirt sur la pile ? Pourquoi faire si j'ai le choix ?
Etes-vous folle d'accessoires ou d'un type de vêtement ?
Je suis dingue de boots (mais je tolère toutes les chaussures). J'ai toutes les couleurs des boots Isabel Marant sauf en rouge (taille 38, pour celles qui voudraient en chercher une paire pour moi !). Je ne vivrai pas sans jeans. Je ne sais même pas combien de paires j'en ai. C'est la base de tout. Je suis aussi une tarée de sacs, j'en change tout le temps, mais c'est normal, j'ai une personnalité très instable même si je suis très sûre de moi en contrepartie. Malgrés trois ans d'analyse, le besoin de changer de sac est toujours là, aussi rassurant que d'avoir un appartement dans chaque ville du monde (le top du rassurant pour moi).
Des marques fétiches ?
Pour les boots, j'ai répondu. Pour les sacs, Jérôme Dreyfuss, YSL, certains Chanel (les plus simples où on en voit pas la marque dans tous les coins), les Chloé sont beaux mais trop lourds, donc bannis. J'aime le Birkin d'Hermès, les besaces Upla, mes sacs de brocantes qui n'ont plus de marques, mon bon vieux U.S. dont je n'ai retrouvé qu'une pâle copie. Pour les jeans, le gris/noir de Notify, les slims bleus de chez H&M (et oui ! pour les jeans ils sont aussi bons qu'une grande marque!), les baggys de Current & Eliott. J'aime me faire des écharpes Wool ant the Gang et les ordinateurs chez Macintosh.
Y-a-t-il une différence de style vestimentaire entre Paris, votre ville d'origine et Genève ?
A Paris il y a tout et tout le monde ose. A Genève, les boutiques et les clientes ont cette retenue typiquement suisse que je déteste en matière de mode. Les boutiques que j'ai citées plus haut, sont des boutiques très parisiennes et aussi un poil new-yorkaises : sans concessions, sans limites, avec des variations très originales ou très poétiques autour d'une ligne de caratère. Leur particularité est qu'elles sont tenues par des professionnelles de la mode, des femmes qui aiment et admirent le talent des créateurs, qui prennent des risques pour valoriser leur passion au lieu d'esssayer de viser un coeur de cible, cliché à Genève : la femme de banquier bling-bling ou la maman au foyer grise et marron. ces places to-be marchent très bien. Ce qui prouve que les Genevoises n'attendent qu'un signe pour s'amuser.
Avez-vous des fringues liées à un souvenir que vous gardez précieusement ?
Mon blouson de cuir motard bleu/blanc/rouge, offert pour mes 19 ans (je crois) par ma mère (super fière de m'acheter une fripe rock'n'roll alors qu'elle est plutôt du genre méga stylée Chanel, Paris 6ème, chaussures Ferragamo et sacs Hermès) aux Puces de Clignancourt. Le blouson de cuir noir, proche du perfecto que je portais quand j'ai vu mon mec pour la première fois (je ne rentre plus dedans mais je ne désespère pas), la combinaison intégrale rose que je mets pour peindre, mes multiples bracelets de chez Jill Wolf que je ne quitte même pas sous la douche.
Le style de votre mari a bien évolué avec les années. Est-ce l'âge (?!) ou vous y êtes pour quelque chose ?
C'est moi ! Incontestablement ! Mais il ne se laisse pas faire comme Ken. Dommage ! Il trouve que le shopping est une perte de temps, mais il peut passer des heures à faire une bataille de boules de neige sans gants (donc il est fou). Il lui arrive de s'acheter des trucs tout seul (je vous l'ai dit : il est fou). Mais la plupart du temps il me demande de l'accompagner et il suit souvent mon avis. Sauf pour une chose. Motif de guerre et probablement cause de divorce si ça arrivait : il s'obstine à porter ces épouvantables petites chaussures de sport avec des bandes, style chaussures de football. Tous les mecs ont ça maintenant et moi, je hais ces...choses. Ce ne sont pas des tennis, ce ne sont pas des chaussures. Elles ont des semelles tellement fines, que les mecs ont l'air de se promener en chaussettes à motifs. Pour moi c'est aussi grave que toutes ces femmes qui portent ces affreux souliers de petites filles (grosses semelles caoutchouc, galbées et débordant, comme si elles avaient marché sur un chewing-gum - chaussures à bout rond ou rond-carré-biais) dont Campers et Kickers se disputent le marché. Mais je n'ai pas tant d'éxigences que ça. Une seule règle à respecter ; je peux vivre avec un mec qui porte des fringues de chiotte s'il s'en fiche sincèrement, mais je ne peux pas vivre avec un mec qui choisisse ses fringues avec un goût de chiotte...
Outre sa dernière BD "Love", parue chez Drugstore, Hélène Bruller fourmille de projets. Elle prépare son site internet www.helenebruller.com , elle souhaite créer un nouveau sac en tissu imprimé et des fringues. Elle réalise également une sculpture de son personnage avec une mise en place un peu particulière et marrante. Tout en travaillant sur un nouveau bouquin entièrement à la gouache (de grandes illustrations associées à une phrase, style "les Parisiennes" de Kiraz ou les gags de Sempé).
J'espère que vous avez eu du plaisir à connaître un peu mieux Hélène Bruller. Quant à moi, je vous dis au 12 février prochain pour un nouveau "Tiroirs à malices".
lundi 11 janvier 2010
Une égérie pour Gérard Darel, un sac pour vous !
Le mystère de la nouvelle égérie de Gérard Darel se dilue...
Malgré l'ambiance brumeuse, le deuxième indice est éloquent ! L'énigmatique a eu la chance d'être shootée par Peter Lindbergh, c'est dire si on se réjouit de la voir enfin (un peu mieux).
Par contre changement d'importance. Tout n'est pas joué ! Il suffit de laisser dans les comms, le nom et prénom de la Belle. Je tirerai au sort la gagnante en mixant les bonnes réponses des billets du 6 et du jour. Allez, les physionomistes, à vous de jouer !
Sinon, je vous retrouve avec plaisir demain pour ma nouvelle rubrique mensuelle "Les tiroirs à malices". Chaque mois, une femme publique sur qui j'ai jeté mon dévolu, viendra parler et montrer ses trésors de mode.
vendredi 8 janvier 2010
A la porte !
Une fois n'est pas coutume, j'avais préparé un billet à l'avance pour argumenter ces quelques photos prises mercredi dernier avec l'un de mes fils. Il s'intulait"l'air de rien". J'avais prévu de me moquer de mon jeans pourri inacceptable pour un blog-mode, de mon audace à oser m'exposer sans être à mon avantage en look "mercredi aprem".
Cette tenue, je vais pouvoir l'user les prochaines semaines... Un coup de fil, un licenciement plus tard, puis une entrevue (c'est la moindre) et voilà mon ego mis à mal et ma bonne humeur au fond des grolles.
P.S. Le fameux gilet est un Odd Molly. Une marque délicieusement hippie, fabuleusement précieuse, avec une égérie sublime : Héléna Christensen. J'ai très envie d'en reparler (faut dire aussi que le Père Noël m'a amené également une tunique !)
jeudi 7 janvier 2010
Les envies raisonnables
sauf qu'à 8 H 12, LA veste courte militaire, Circus & Co, était introuvable. Envolée en quelques millièmes de minutes.
Dans les besoins/envies, (avant de passer aux fameuses Valérie Salacroux dont je vous en touchait un mot, ici) commandées il y a plus d'un mois sur le site la Redoute.ch, rupture de stock. Je file sur le site Somewhere...
Qui dit irrépressible, dit forcément irrésistible.
Conclusions
Edit : J'écris comme je parle, trop vite, pas très clairement. Le code promo est valable sur le site Somewhere, linké à plusieurs reprise dans ce post.