samedi 28 mars 2009

J'fais quoi avec Sonia Rykiel et sa fleur ?

La sève qui monte lascivement à un effet visible dans les rues. Un trench, une PVJ, un cuir bleuté (une longue histoire...), un genou dévoilé, des chaussures ouvertes, un collant moins opaque, une robe presque ensoleillée qui nous font sortir de la langueur hivernale. Mais le bras de fer avec l'hiver s'éternise. Pourtant mille et un détails prouvent qu'il est là, le Seigneur des saisons. Des pépiements de plus en plus nombreux (mon plaisir matinal, les yeux ouverts dans mon lit encore chaud), l'odeur de la terre qui se réchauffe, des animaux qui se réveillent, bref on est pas dans un documentaire animalier, mais juste vous parler de ces sensations renouvelées tous les ans et qui toujours, m'émeuvent...

Qui dit printemps, dit... fleurs...!



Un de mes dada, les regarder s'épanouir me repose et me fascine... En attendant les belles de mon jardin, je parsème allègrement mes cheveux de barrettes fleuries. C'est simple, ça habille ma chevelure avant le passage chez celle dont les prolongations manuelles m'effraie toujours : la coiffeuse...
Et Sonia Rykiel dans cette histoire ?



Mes mains ne sont pas posées par amour de l'art photographique... Mais pour que vous remarquiez sa taille.


L'automne dernier j'ai flashé sur une fleur de la grande dame aux cheveux... aux cheveux, quoi !!! (quelqu'un pourrait me dire, pourquoi elle s'évertue à brosser ses cheveux frisés si ce n'est pour être identifiable). J'ai commandé ma broche SR sur le site Figvenom. Je la voyais agrémenter à l'envi un bonnet, une écharpe, un béret, un corsage... Souvent grand espoir est vite déçu (tiens je me lance dans la citation perso). Les pétales de la belle cotonneuse sont bien plus grands que je ne l'imaginais, le système d'accroche trop faible, bref, une broche Rykiel qui dort depuis plusieurs mois au fond de mon dressing.



Le système d'accroche... pas efficace face au poids de la broche. Elle pendouille sitôt soumise à la loi de l'apesanteur....

Alors, help, les filles ! Les fées de la couture me diront, trois p'tits points et le tour est joué... Sauf que je ne veux pas l'associer à un seul vêtement ni la laisser moisir au fond d'une boîte. Vos idées, suggestions, les filles, que je la porte enfin !!!

mercredi 25 mars 2009

Histoire blanche



Dentelée, ajourée
pour les ballades bigarrées



Robe Mayentl - Photo Fanny

Brodée à plis religieuses
à sa guise allumeuse

Baby-doll en voile
Elle encanaille et dévoile

Robe Isabel Marant - photo Ithaa


Meringuée à traîne longue

pour un prince idéologue



Robe Antik Batik - Photo Nadia

Emmanchures américaines
les épaules nues, quelle aubaine


Parée de sequins
elle brille à dessein

Longue et romantique
pieds nus plutôt que boutique

Moulante et "lycrateuse"
pour les curieuses libidineuses

Chemisée, semi-boutonnée
pour une classieuse bien gaulée



Robe Mayentl - Photo Fanny


Manches chauve-souris et ceinture
on ne sait pas si ça dure

Lassée d'un lien soyeux
délié par les messieurs


Robe Isabel Marant - Photo Ithaa

Fraîche et pure

indémodable allure



Blanche et éternelle
à jamais elle m'interpelle

Un grand merci aux trois blogueuses citées en lien, qui m'ont gentiment prêté leurs photos.

dimanche 22 mars 2009

Les chemises blanches



Je fais un truc fou... je choisis toujours des vêtements qui me plaisent !!! J'ai la prétention de croire que j'achète par choix, par goût plutôt que parce que c'est "à la mode" du moment. Je me fourre le doigt dans l'oeil, je sais. Je ne couds, ni ne crée de merveilles textiles donc je prends ce que les boutiques proposent. L'interprétation et l'appropriation jouent le rôle du "petit truc" en plus. Ce que par contre, je n'aurai la fatuité d'affirmer à mon égard.



Ce qu'il y a de formidable avec son blog, c'est qu'on peut se questionner sur un sujet aussi futile que la mode mais au combien prioritaire dans no vies puisque nous ne sommes pas une grande tribu de nudistes. Se vêtir étant obligatoire autant en apprécier et en user de ses devoirs de citoyens du monde. (trop belle l'excuse..)

J'ai un toc, j'achète souvent la même chose, entre autres l'incontournable chemise blanche. Pour les imperméables du tissu, les négligents du détail, c'est toujours une chemise blanche. En fait leur point commun est d'être blanche, c'est tout....



Chacune a un détail particulier, un bouton perlé, un col mao ou bateau ou tunisien, ceintrée, brodée, évasée, floue. Elles ont chacune une personnalité distincte.



Fidèle à ma monomanie, lâchée 20 minutes entre les rayonnages de Zara, c'est avec une nouvelle immaculée que j'en ressors.



jeudi 19 mars 2009

Monoprix flirte avec les créateurs

On veut toutes un peu la même chose. Du style, de belles matières, de l'originalité, le tout sans se ruiner. L'idée d'H&M et ses invités célèbres fait des petits. Après April May en septembre, Monoprix accueillera en mars et avril, non pas 1 mais 2 talentueuses maisons de créations.
Depuis le 4 mars dernier April First est dans les échoppes de Monoprix. La petite marque d'accessoires, confidentielle il y a peu, propose des pièces 100 % cuir qui se déclinent en daim beige, rose ou violet rehaussé de clous en laitons. Besaces, cabas, ceintures et pompons décoratifs à accrocher où l'on veut. Cuir, un poil rock et folk, des clous. Mais que demander de mieux. Des petits riens qui nous font tourner la tête sans mettre à mal nos bourses...
Cabas (d'autres coloris) 149.90 euros




Besace clous (différents coloris) 129.90 euros
Ceinture clous 39.90 euros
Pompon 12.90 euros

Dès le 15 avril les créations du chypriote établi à Paris, Erotokritos Antoniadis seront à l'honneur (les hommes aussi se verront pourvus d'un corner Erotokritos). Cette marque à l'identité forte, adulée des fashionistas nous offrira du rose, du noir, du gris, de la géométrie, du flamboyant, de l'originalité.. Très alléchantes ces petites merveilles à portée de porte-monnaie devraient véritablement nous mettre en émoi. Personnellement les visuels me parlent, me murmurent des choses tendres...



Robe verte en jersey, ceinture à plis (aussi en noir et gris clair) 79 euros


Robe noire en jersey de coton empiècement rayé 79 euros

Veste noire à fronces manches 3/4 89 euros


Top rose en jersey uni plissé (aussi en gris) 45 euros

Pantalon slim noir à poches soufflet 59 euros
Manteau beige ceinturé 129 euros


Robe bleue en jersey de coton empiècement rayé 79 euros



Vous dénicherez ces beautés dans tous les Monop de Paris. En Province je n'ai pas de renseignement précis. Mais leur ligne est claire, la mode à portée de main. Une fameuse taupe-modèle-chineuse n'a pas aperçu un clou d'April First dans son Monop. Gardez l'oeil ouvert, je pressens que ça en vaut vraiment le coup.

J'en ai l'eau à la bouche, mes finances me susurrent des mots doux. Je sens que la mi- avril nous verra toutes fébriles à l'entrée d'un Monop. Suspense, joie, colère, vous me direz dans quel registre émotionnel ces créateurs vous mettent. Quant à moi, pauvre Suissesse je pense à vous et que fait-on pour moi aujourd'hui? (vous remarquez la subtilité du placement de slogan typiquement Monoprix!...)


*Ce billet n'est absolument pas sponsorisé. J'avais simplement envie de parler de ces opportunités vestimentaires et de la démocratisation de la mode.

mercredi 18 mars 2009

Derniers poèmes d'amour - Paul Eluard



Ce n'est pas un hasard si aujourd'hui je vous présente, dans ma petite rubriques livres, des poèmes. Vous le comprendrez facilement en fin de billet.


Je prends peu de risques à vous parler d'Eluard, qui malgré ses engagements politiques, ses idées, son appartenance au dadaïsme touche n'importe qui par ces mots simples. Je pense que la poésie est accessible à tous. Il suffit d'un instant pour en lire quelques strophes, en savourer les mots, la magie inopinément opère en nous.


Cette édition que j'ai achetée en 1989 rassemble les derniers poèmes d'amour de Paul Eluard. Il vécu trois grandes histoires d'amour qui ont nourri ces poèmes. En 1946, le décès de sa deuxième épouse Nusch l'a plongé dans un profond désarroi. En 1947 il écrivit celui qui m'a marquée à jamais.

...Il m'est donné de voir ma vie finir
Avec la tienne
Ma vie en ton pouvoir
Que j'ai crue infinie
Et l'avenir mon seul espoir c'est mon tombeau
Pareil au tien cerné d'un monde indifférent
J'étais si près de toi que j'ai froid près des autres.

extrait "Ma morte vivante" 1947



Si j'ai ressorti mon vieux livre, c'est qu'un autre poète, un poète enchanteur (selon Arthur H) s'en est allé. Je l'ai aimé, ai vécu tant de solitudes en écoutant ses mots et sa musique. J'ai été bien plus touchée que je ne l'aurais voulu ou même pensé. A croire que nos découvertes artistiques durant l'adolescence perdurent et nous marquent à jamais.


...J'ai fait la saison dans cette boîte crânienne
Tes pensées, je les faisais miennes
T'accaparer, seulement t'accaparer
d'estrade en estrade
J'ai fait danser tant de malentendus...

Extrait de "la nuit je mens"



Mon prochain billet reviendra sur du look et de l'officier rejaillit d'une vieille veste abandonnée.

vendredi 13 mars 2009

Tag and wardrobe


Par trois fois je l'ai reçu ce tag ! pff.... Alors ma Mimi, Baraginie et une nouvelle encore méconnue, Isabelle, je m'y colle. Dans la douleur, j'ai enfanté un premier billet manuscrit, bien trop impudique et personnel, j'ai économisé une séance de divan grâce à vous.
Finalement c'est sous l'angle purement futile, dérisoire et nécessaire que je réponds au 7 choses que vous ne savez pas sur moi.


Plus d'illusion, Anaïk, mon dressing est tout ce qu'il y a de plus humble...


Chemises blanches... A jabots, manches 3/4, dentelles, lin, allez comprendre. Elles m'allument j'vous dis....

Du noir, du noir et du noir. Plus de 20 ans (oups) que ça dure et croyez-moi je suis indésintoxiquable. Ses frères gris et bleus rivalisent péniblement parmi quelques cousins bruns, taupes ou colorés. Mais la vedette indéniable c'est lui.

De l'accessoire... pour rien, pour tout. Par plaisir, par féminité, par jeu. J'adhère...

Ma quête éternelle : the perfect white dress. Romantique, dentelle, féminine. Je ne trouve jamais LA. Trop ceci, pas assez cela. Je vais donc faire un mix de ce que j'aime et défier Nini et ses doigts enchanteurs...

Le fantasme de l'Unique m'habite depuis toujours. Un leurre dans notre monde uniformisé d'un bout à l'autre. Pour mon entourage (pas les amies, elles savent et ont trop de personnalité pour le faire) je souffre d'une amnésie récurrente quant à la provenance de pièces chéries. Trop de mauvaises expériences tuent la divulgation partageuse.

Indulgente sur les faux-pas, les mauvais achats, les associations douloureuses, le mauvais goût, le cheap, le toc. Rien n'est faux. Mais vade retro satanas à la vulgarité. C'est carrément rédhibitoire. En vieillissant, pire...

Mon drame.... Pourquoi, mais pourquoi la gent masculine a un attrait irréversible pour le hautement sexuel (bon, je saisis l'origine...!) Et je parle d'hommes sensibles, cultivés, torturés, touchants, les nôtres, quoi ! Pas des fameux à gourmettes dont Piapias en a fait un très bon billet. A chaque fois qu'une discussion amicale nait sur le sujet "les femmes, les fringues" on est pas loin de "Tarzan aime Jane". Un drame et une incompréhension...

Voilà les filles ! Je ne renvoie pas l'ascenseur mais celle qui voudrait pendre le témoin...

mardi 10 mars 2009

Arthur H et je frissonne

"L'avantage d'être intelligent c'est qu'on peut faire semblant de faire l'imbécile alors que l'inverse est totalement impossible" Woody Allen

Mise en bouche par cette citation d'un autre laid. Attendez on ne va pas faire comme si ce n'était pas vrai. Il y a longtemps que je craque pour cet artiste troublant. A chaque fois tout le monde s'esclaffe... On est bien d'accord que ce n'est pas le mâle classique, aux abdos bétons, aux dents péroxydées, que j'aime aussi, des fois...

Charmeur, torturé, rock, sensuel, drôle, doux, décalé, timide, lubrique, déjanté, attractif et animal. Des yeux qui en disent bien plus long qu'il ne le voudrait. Un mélange super exitant.
Je voulais partager avec vous ces deux hommes (trois avec Woody) qui me font craquer.


Ne cherchez pas le rapport entre les deux, j'crois que je dois être la seule à comprendre... Mais l'attraction évidente des jeunes filles pour Benjamin démontre que la charme se place nettement au-dessus du parfait.

Extrait de son prochain album.

dimanche 8 mars 2009

Lettre à Jérôme

Jérôme,

Vous le chouchou de la blogo, le créateur adulé des modeuses, des amoureuses de sacs, d'esthètes en herbe, vous osez cracher dans la soupe qui vous permet de vivre aisément.


Isabel Marant, sa compagne et Jérôme


Vous avec votre bonne bouille de mec d'à côté, cool, bobo, simple, a l'air timide et décontracté, proche des gens, de nous, quoi ! Comment de telles inepties ont pu sortir de votre bouche lors de cette interview chez le Modalogue. En parlant des blogueuses, je cite : "... je ne comprends pas comment les gens peuvent passer du temps à écrire sur un sac. Ca me fait rire..."


Non ! Sérieusement Jérôme, ça vous fait rire ? Vous êtes étonné si je vous disais que je n'ai pas envie de partager vos gloussements ? Dieu sait si les hommes maladroits me touchent. Mais, allons, dans votre position, pouvez-vous vraiment vous permettre la balourdise ? C'est de la mode, des futilités. Voyons ! La mode engrange des milliards de bénéfices, créent des millions d'emplois et ce bien avant que nous faisions nos premiers pas, vous et moi.


Vous choisissez un métier magnifique, vous devriez en connaître les codes et les usages. Depuis quand une femme n'est pas hystérique à la vue d'un sac ? Depuis quand, de quelque milieu l'on soit issu, le rêve et le luxe n'attirent plus ? Je parle bien évidemment des pays où les besoins premiers sont comblés.


Je pense que vous vouliez dire que vous étiez dépassé par votre succès, que jamais vous n'aviez pensé déclencher un tel engouement. Je vous laisse le bénéfice du doute. Car malgré ces paroles blessantes, je pense que vous êtes quelqu'un de bien. Mais voyez-vous, je ne suis pas certaine qu'il s'agissait d'une gaffe non étudiée, de propos naïfs et innocents. Ne serait-ce pas l'effet inverse du délit de sale gueule ? L'affront d'un mec simple qui prononce des mots qui donnent l'illusion d'un grand naïf mais parfaitement conscient que cette phrase fera encore parler de lui. Car peut-on être gauche dans votre situation ? Aucunement.


Voyez-vous, Jérôme, vos sacs qui me tentent tant et plus me donnent un goût amer.



Oh ! Je ne suis pas naïve (!). Je sais que ma petitesse ne fera pas varier d'un iota vos ventes, mais vous m'avez déçu, simplement.



Voyez-vous, Jérôme, les mots ont plus de poids que l'envie...


vendredi 6 mars 2009

L'effet belette !

Ce billet est à prendre au millionième degré .... On passe sur la qualité, les racines, le make-up et on se concentre sur l'effet belette...

Bien que d'ordinaire les regroupements pas trop mon truc, je n'ai pas su résister à l'appel de la belette et je défie toutes les amoureuses de la Zab (voir mon précédent post) de faire des clichés aussi pourraves que les miens...


Le matin, au premier contact, tout se passe normalement...


Tu enfiles une veste de smok
et alors, l'effet commence...

doucement

pour finir, libre de tous complexes...


écharpe coton flamèche suédois, sous-pull Majestic, tich belette, jeans G-Star, veste smoking stella

mercredi 4 mars 2009

Amitiés


Douces, présentes, joyeuses, libres, complices, franches, profondes, empathiques, folles, sportives, modeuses, désinvoltes, littéraires, déjantées, partageuses, indispensables, désinhibées, tendres, attentives, inoubliables, sincères, ...


Les qualités innombrables de mes amies.


Hier, à la lecture du billet de ma Zabounette, j'ai senti cette complicité qui unit ces deux collèguesmaisnéanmoinsamies. Les séances shop c'est sympa avec une copine mais tellement plus délicieux avec une amie.

A défaut de pouvoir shopper là, maintenant avec elle, j'ai foncé adopter cette belle image montagnarde et textile. Qui, à chaque sortie du dressing me donnera l'illusion virtuelle d'avoir mis à sac le suédois en sa compagnie. J'avoue quand même qu'il m'a fait fondre ce tee-shirt, et fait assez rare pour être souligné, se trouvait sur les portants de ma ville.

A quand le club des belettes-amies-cops de la blogo?

Petite précision : Jamais avec les amies de la vraie vie, de la peine à supporter les mêmes fringues chez les unes et les autres !!! Mais à travers un écran, hein ?
Le nouveau bracelet de la Kabbale !!!

lundi 2 mars 2009

Elle revient




Des nouvelles en coup de vent et bien mauvaises. En résumé, la maladie de Lyme suivie d'une méningite a refait surface chez mon deuxième fils. Ce n'est pas vraiment le lieu pour les explications médicales compliquées avec cette saloperie. Les médecins ne peuvent que réagir et non agir avec anticipation. Son traitement s'est terminé le 28 décembre. Moins de deux mois plus tard, elle redémarre. En fin de journée nous en saurons un peu plus, notamment sur le fait qu'il doive refaire une ponction lombaire. A tâtons ...



Mais vous comprenez que les futilités si agréables dont nous parlons ensemble me semblent dérisoires. Mais quel plaisir j'ai à vous retrouver sur vos blogs, durant ces courts instants j'ai l'impression que ma vie est normale.



C'est très difficile, l'incertitude, la souffrance, la peur, les doutes. Vous imaginez aisément le désespoir qui nous envahit. Mais je ne suis pas fataliste et on se battra pour que notre p'tit poussin s'en sorte et sans séquelles.



Merci à celles qui se sont inquiétées de mon absence par des coucous et des mails, ça me touche beaucoup.
EDIT du 7 mars
Avec un peu de retard je vous donne des nouvelles. Pas de reprise active de la maladie, elle reste présente durant plusieurs mois d'où des prises de sang mensuelles. Mais les "effets" de la maladie (une fatigue immense entre autres) peuvent durer 1 an... Repos, pas trop d'activités + 3 mois de reatrd d'école à rattraper... on gère mais c'est pas tous les jours facile. Et encore merci pour vos pensées...