jeudi 31 décembre 2009

Du plissé

Lauren Hutton (66 ans)-campagne J. Crew
Dernier jour de 2009.. mini bilan...

Côté fringues, une obsession est chassée par une autre, à peine le Graal porté. Un désir en entraîne un autre. Je ne me fais aucune illusion sur la consommation, dont je rêverais dans mes fantasmes les plus fous, en être totalement détachée.



@The Sartorialist photo - Lauren Hutton, défilé Calvin Klein oct. 2008
Pour que quelque chose me marque, il faut qu'il y ait de l'émotion. C'est donc une photo du "The Sartorialist", tirée de son livre éponyme, qui a laissé une trace encore fraîche et déjà indélébile.

Une image forte, d'une femme superbe, Lauren Hutton, marquée par le temps. Son visage est le livre de sa vie et elle devient tellement, tellement plus attachante, forte que ça


Madonna (51 ans)- campagne de pub Dolce & Gabbana
ou ça...

Demi Moore( 47 ans) pour la couverture de W

ou encore ça


Isabelle Adjani (54 ans) pour la publicité Lancel

Je crois que le chemin devient de plus en plus clair. Le vrai dans les apparences comme dans les relations.


Photo de Spiruline, rephotographiée sur une ardoise valaisanne

Et du réel, avec vous, bien sûr. Dans vos commentaires, drôles, percutants, sincères, vos mails (dans ma boîte mail, j'ai créé une catégorie "mots touchants"), nos interactions. Sans vous, mon blog ne survivrait pas bien longtemps. La photo, ci-dessus, est une carte-surprise, envoyée il y a quelques jours par une lectrice fidèle, Spiruline, on est plus dans le virtuel. Elle a eu l'élégance de photographier avec talent un élément typique de ma région. Et c'est la seule belle carte en vrai (!) papier que j'ai reçue en cette fin de décembre.

Je vous souhaite une bonne année. Bonne, vraiment, comme du pain.


A l'année prochaine !

lundi 28 décembre 2009

Ecrire pour vivre ou vivre pour écrire



Malgré ma frénésie intempestive du net, je voue un amour passionné aux écrits manuels. J'aime l'odeur du papier, les cahiers à spirales, le crissement (parfois presque le crépitement !) des crayons, des stylos à pointes ni trop fines ni trop épaisses. Des petites manies que personne ne connaît.

En fait, l'idée de la feuille blanche et des heures de solitude qui l'accompagnent, me fascinent. De vide elle devient pleine, de pleine elle se mue en partage, de partage elle ne m'appartient plus.

Des billets attendent encore d'être publiés ou pas, des photos arrachées à la va-vite, des listes (jamais tenues jusqu'au bout), des livres à acheter, à lire, des objets. Une bonne partie de mes émotions ou désirs dans ces quelques feuillets.

J'aime le contemporain, l'air du temps. Mais écrire à la main est plus encore que ma Madeleine de Proust, c'est une partie inéluctable de moi-même.

samedi 26 décembre 2009

Les délices des Fêtes




La journée de la glandouille par excellence est bien celle du 26 décembre. On profite de traîner et de ne faire que ce qu'on aime, libres des horaires, des devoirs, des convenances habituelles et obligatoires. Le 26 idéal c'est ...

Démarrer par un bain bouillant, huit kilos de crème, pas de maquillage et une tenue méga confort.

Une fois n'est pas coutume (je n'aime pas les intitulés "ma tenue du jour"). J'use la chemise IKKS, réréditée pour les 10 ans de la marque. Sophie Marceau, dans un ELLE, avait posé en l'enfilant à même la peau avec une culotte pour tout accessoire. J'avais peur que la honte ne s'abatte sur la famille pour les trois prochaines générations, j'ai donc ajouté un leggings American Vintage dont la douceur du coton n'est plus à prouver.



Un cadeau de mon frère qui m'a tout de suite prévenue que c'était hot et réservé aux adultes. Je ne vous dis pas les malices pour la lire en cachette, la planquer sous une pile de pulls car, Zep, notre fierté nationale est l'idole de mes fils. Et Zep = Titeuf. Sauf que Titeuf n'a rien à faire dans cette hisoire. Je vous la conseille, c'est truculent comme d'hab et peut-être même que ça vous donnera des idées sans passer pour une lubrique.

Pas de viande, ni fromage, ni alcool... mais des litres de Kusmi Tea. Faut bien se remettre d'une battle de whiskys à 2 heures du mat, le 24 !


Une activité dépourvue de l'utilisation de neurones, relaxante et créative.... Je dégaine à nouveau mes aiguilles pour ma fausse filleule, Marjolaine, qui veut la même écharpe que moi "avec beaucoup de franges".

Un bon vieux Pictionnary en famille. Ça crie, ça rigole, trois heures passent sans même qu'on ne s'en rende compte.

En fait ces vacances sont une trêve annuelle, un condensé de chaleur sur quelques jours, un rituel toujours renouvelé avec plaisir. Je savoure égoïstement ma chance.

Et vous, vous faites quoi durant les Fêtes ?

p.s. En passant, on m'a offert une robe Somewhere pour que je la marie à ma manière. Nous sommes 10 blogueuses. Vous pouvez votez en cliquant sur celle que vous préférez (ou que vous aimez), ici . Dans l'air du temps, je suis à la traîne....

mardi 22 décembre 2009

Festoyons !



Elles arrivent, elles arrivent les bacchanales et leurs cortèges de gras, d'alcool, de marrons glacés et de toutes ces merveilles qui me font grossir juste en les regardant.



Je ne m'en cache pas, je suis d'une nature généreuse, métaboliquement parlant. Tout me profite. Enfin profiter, c'est pour l'expression. En vrai, c'est tout se dépose... Pas forcément aux bons endroits et pas sur les mêmes parties charnelles qu'avant. Avant, c'était pré-35 ans. Sérieux, j'vous jure ! Sitôt cette limite franchie, pif-paf, une excroissance jusqu'alors inconnue, s'agrippe telle une bouée sur les hanches et aux fesses.



Et vous savez quoi ? J'en faisais une maladie. Aujourd'hui je m'en fiche. Un peu, pas complètement. Je ne râle qu'un jour sur trois. Mais... comment dire... c'est moins profond. Comme chantait Jacques Dutronc, "j'y pense et puis j'oublie".



Durant ces quelques jours, je me délecte, je sens la vie, la chaleur de ma famille, le Monopoly avec mes fils, le vin chaud avec les amis, la fondue après le ski, une bonne fiesta. C'est pas tous les jours Noël, mince ! Je suis nostalgique, toujours. Mais j'aime Noël. Les souvenirs qui ricochent dans les conversations, les rires des enfants, les yeux éblouis, les becs, les amies. Mon seul regret est de ne pas pouvoir retrouver mes copines de la blogo. Un prétexte de plus pour picoler à leur santé.



Et puis pour les apparences, du noir, une ou deux astuces pour masquer au mieux les formes et entre nous, je bois du bouillon les jours où on a rien de particulier. Au moins une fois, quoi !

Janvier arrivera bien assez vite. En attendant, je vous souhaite plein de belles choses. Et je ne vous oublie pas !

Eternelle et adorée veste de smoking Stella Mc Cartney pour H & M- Pantalon Kookai - Chemise à jabot Benetton - Ceinture cloutée Sisley - Bague Swatch - Bracelets Dinh Van et Kookai (merci Sylvie !) - Barette H & M - Chaussures Zizi de Repetto

lundi 21 décembre 2009

Les Pôles




de la douceur à la rigueur



du printanier au frimas



de l'exclusif à un classique



Manteau militaire Naf-Naf redoublé en Liberty - écharpe home made

jeudi 17 décembre 2009

La beauté est ailleurs



Noël se hâte à nos portes, nous sommes tous à la bourre, harassés, pressés d'arriver à ces quelques jours de vacances. Mais je pense à vous et surtout à ceux qui peinent à trouver chaussures à leur pied... A part mode, bouquins de quoi parle-t-on chez Sarah babille, de temps à autre... des hommes, pardi ! J''ai une grande théorie que je voudrais vous exposer ici. Avant tout, faut que je me confesse... J'ai un faible, je m'affole telle une guêpe sur du miel, pour les hommes laids. Et bien oui ! J'en ai un public à vous livrer en pâture. Je vous préviens, c'est un secret que je partage (!!) fort volontiers mais à chaque fois j'ai droit à une salve de rires lourds. Bon exception faite pour Simon Baker dont je vous vantais les mérites en long et en large ici et pour qui je quitterais mari et enfants pour m'exiler sur une île sauvage et primitive australienne et ne faire que des choses très primaires. L'autre "connu" est Kad Mérad. Voui-voui !
Ma grande théorie en exclusivité...

Déjà faut pas qu'il y ait trop de répulsif dans la laideur. Le prendre d'un coup chauve, bedonnant, puant des dents c'est trop. Surtout pour une première. Un petit peu à la fois....


Souvent le laid a souffert. Ce qui lui donne, passé la trentaine, une espèce d'aura magnétique et attirante. Il a ce je ne sais quoi de perdu dans le regard. Des doutes, une timidité refoulée, une maladresse gracieuse. Le plus vilain a un charme touchant.

Le beau se révèle très souvent un piètre amant (normal il a trop à faire à mirer ses pecs...). Par le langage non verbal vous fait sentir que oui, il a vu votre cellulite, votre ventre mou et des seins qui ne sont plus de première fraîcheur. Les beaux sont des handicapés de l'échange à deux. Ils aiment avoir un public.

Le laid est presque toujours (si ce n'est pas le cas, débrouillez-vous pour lui apprendre ou sinon ben je ne peux plus rien pour vous) un amoureux torride, qui prend son temps ou pas, selon la situation. Aime vous bichonner et penser d'abord à vous. Il vous donne l'impression (l'illusion?) d'être la nouvelle Demi Moore sans retouche (non je ne parlerai pas de la dernière couv de W). Le moins beau est une bombe à retardement. "il faut se méfier des eaux dormantes" n'a pas été écrit pour la prose littéraire...

L'homme laid a un avantage certain sur le beau. En vieillissant il se bonifie, il prend de l'ampleur, de l'assurance. Ses défauts de jeunesse deviennent des qualités séduisantes. Et surtout, surtout il ne sera jamais un vieux beau toujours pathétique après la quarantaine.

Comme il n'a pas eu la vie plus facile dans son enfance grâce à une plastique de petit Apollon, il développe "autre chose". Il a mis ses qualités en exergue. Ca me fait penser à une phrase de Woody Allen "pour des raisons personnelles j'aurais voulu ressembler à Marlon Brando". J'adore ! Mais après 40 ans, lequel selon vous était le plus intéressant ?

Je pourrais continuer un petit moment à vous vanter les mérites d'un pas beau. Bien que la beauté soit complètement subjective. Je continue de croire que le laid est nettement plus attrayant.

Arrêtez les filles de chercher le mètre 85, aux dents carnassières, à la bouche pulpeuse, aux muscles saillants, à la chevelure ondoyante. En général ce genre de personnage ne peut aimer. Il s'adore trop.

Croyez-moi, mieux vaut un laid qui vous aime qu'un abruti correspondant aux critères sociaux qui vous rendra chèvre et cornue.

C'était la grande vérité. Il faut savoir regarder un peu plus loin que le bout de ses hormones. Et je ne sais pas pourquoi je le précise ces théorèmes avérés (!) valent pour les femmes.

Ligne du coeur ouverte. Je me réjouis de lire vos témoignages.

vendredi 11 décembre 2009

Devenir femme



Mon histoire avec les sacs a débuté toute petite. J'adorais fouiller dans les sacs des dames, comme on disait. Ils recelaient des mystères et surtout ça voulait dire entrer dans le monde des femmes. J'ai passé mon enfance à attendre d'être grande. Aujourd'hui je me dis souvent "si seulement les 10 ans entre les 30 et 40 pouvaient durer deux fois plus longtemps. "



Je m'invente des histoires avec chacun . J'aime le désirer, l'attendre, l'imaginer. Comme si le temps avait une valeur ajoutée. Forte de ces préceptes personnels, toute guillerette, je fonce à la boutique Abaco sur qui j'avais jeté mon dévolu mental. Manque de bol, la seule enseigne fermée un lundi dans le Marais. Dépitée, j'erre du COS au Keehl's. Derrière une porte vitrée, il m'attendait, sagement posé au sol. Il possède les atouts que j'attends du prolongement de mes bras. Sobre, sans signe distinctif, cuir patiné et surtout il n'a pas le don d'ubiquité dans mon coin de paradis. Cerise sur le gâteau, sans le savoir j'avais atterri au stock des anciennes collections Sandro, le prix originel est divisé par deux.



Vous souriez... Penser être si exceptionnelle et ramener un Vanessa Bruno comme seconde acquisition parisienne ! Croyez-moi ou pas, à part quelques étudiantes universitaires exilées dans les grandes villes la semaine, les cabas VB ne sont pas légion par ici. Mon premier cabas pailleté, offert encore une fois par mes parents il y a 8 ans (j'en ai quelques uns à mon actif depuis), scintille toujours des sequins ! Ils sont inusables, intemporels, m'attirent comme une pie.

L'hiver, avant les premiers flocons, me lasse déjà. J'attends de claquer les talons en bois de Valérie Salacroux avec ces sacs moulés à la saignée du coude.

mercredi 9 décembre 2009

Etre ou ne pas être une looseuse



Photo Géraldine Dormoy du blog Café Mode

Mon arrière-grand-mère, Eugénie, avait coutume de dire "tous les trop sont de trop" (tata Gillo je sais que tu me lis, et tu peux confirmer, hein ?? dans les comms en dessous !)... Sage pensée d'une femme née en 1899... Trop de shopping, trop de cadeaux, trop de monde. Pour arranger le tout grève des trains et des taxis... Ah ! j'vous jure, c'est une vie d'être une pétasse...

Parce que la pire catégorie, si l'envie d'ouvrir un blog vous tenaille aux tripes c'est bien les modeuses. Genre quand Polluxe me demande quel blog je tiens, j'en peux plus que ça ne saute pas aux yeux que je suis une vraie pouffe. Mais bon, y en qui le pensent et j'adore ne pas contredire... Je passerai outre la manière de classer. Il est impossible de décerner des prix objectifs aux blogs. Le seul critère étant les lectrices point barre. J'y reviendrais parce que j'ai envie que des choses changent sur mon blog et c'est à vous que j'en parlerais et c'est tout ! Le reste n'est que narcissisme.

Mais sinon, purée... J'ai parlé avec Sophie Fontanel, Fonelle, quoi bordel... Et d'une simplicité, aucune surprise, elle est comme je l'imaginais, drôle et gentille, intéressante et touchante, sincère. J'ai l'air con de jouer les groupies mais ce petit moment a été un instant de grâce, suspendu parce que irréel et unique dans un lieu privilégié. Terrasse immense, petite piscine en mosaïques face à la Tour Eiffel. Et je suis trop une looseuse qui sait d'où elle vient. Sur les toits de Paris, je pense à ma Mémé Sylvie, adorée et décédée il y a 2 ans et 9 jours et je lui dis "Mémé, regarde ce que je vois!". Je n'oublie pas et je savoure ces minutes en oubliant que tout ça est une mise en scène pour flatter notre ego démesuré...



Et Sophie (non mais purée, SOPHIE FONTANEL !), Fri, Lauren Bastide (non mais purée LAUREN BASTIDE, immense, superbe) parlons de ce fameux article qui m'avait agacée (40 ans, non mais purée 40 ans c'est les 20 ans de 1940, quand même) et là, Sophie (non mais purée, SOPHIE FONTANEL) fixe un point sur moi et lance "mais c'est trop joli ça c'est quoi) je sursaute, Sophie, Parisienne, journaliste au Elle, ex-chroniqueuse de Canal+ trouve un truc trop beau sur moi ! Mes ongles Orage d'YSL. Moi, la Suissesse égarée, je porte LE truc que Fonelle n'a pas et ... qu'elle aime !

Alors, merci Sophie, tu m'as fais du bien, une pécadille qui ne m'empêche pas de savoir que tout ça c'est du vent. Mais mon ego lui il vit et j'ai surtout senti, qu'une gentillesse gratuite, offerte à quelqu'un pouvait lui faire plaisir.

ps1 : avec ce billet je situe le niveau d'un blogueuse mode. Ca fait du bien de se moquer de soi-même.


ps2 : et sinon, non pas un mais deux sacs... j'dis ça en passant.

vendredi 4 décembre 2009

Gégé ou Jéjé



"Le paradis des fous est l'enfer des sages"


Cette citation m'a percutée alors que ma maman et moi parlions de l'ouverture des soldes parisiens. Nous avions assisté, séparément à cet "évènement". Elle a détesté, j'étais comme un poisson dans l'eau.

Est-ce à dire que le shopping n'est pas génétique mais pathologique ?!

Par contre elle comprend qu'avec deux enfants, mes envies ne sont jamais assouvies. Du coup, le Père Noël a glissé une belle enveloppe pour que je puisse m'offrir un cadeau lundi ou mardi à Paris.



Billy de Jérôme Dreyfuss

Immédiatement, sac, sac, sac... Je vous le disais déjà en septembre (ici) tout l'effet que le Pom Bag me fait. C'était sans compter sur Jérôme, qui m'avait subjuguée il y plus de trois ans. Mais comme je lui ai sonné les cloches , ma crédibilité en prend un coup. Et surtout, la qualité inégale d'un sac à l'autre me retient.

Avouez pourtant, qu'il est beau le Billy de Jérôme Dreyfuss. On l'a vu jusqu'à la nausée sur la blogo mais chez moi : jamais croisé un bout de cuir dreyfussien et ça c'est capital.



Pom'Bag Santa Fé de Gérard Darel

Mais Gérard et moi c'est une histoire d'amour sincère. En quatre ans ce serait mon troisième. Jamais deux sans trois ou alors deux c'est assez, trois c'est trop...

Comme lâchait Balibulle ici , "En même temps, chacun ses problèmes"...

Alors, vous en pensez quoi, Gégé ou Jéjé ?

mercredi 2 décembre 2009

Ronde comme un soleil



Il y a un an déjà, Zabounette, la blogueuse modeuse avant-gardiste belge, nous narguait avec sa robe soleil. On était quelques unes à rager de ne point la dénicher, la tournante...



Parce que cette robe, malgré son plissé de première communiante, sa sobriété de bourgeoise coincée est le nouvel étendard de la liberté.

Moi, exagérer ? Allons....



Tu peux t'enfiler douze raclettes, une fondue, deux litres de bière, tes flatulences resteront sagement inaperçues. Pas besoin de rentrer ton ventre, il y a de la place pour deux ou trois franchissant alertement les soixante kilos (oh oh... faites pas les Sainte Nitouche ! les 170 cm aussi allègrement dépassés.....).



Je sens qu'elle aura une place royale dans mon dressing. Une cache misère. En même temps, le jeans un peu serré comme vêtement-test, vaut mieux le garder précieusement aussi.



Porter du Big is Beautiful ne nous absout pas des vilénies. Le mythe de la grosse sympatique est bien mort. Faut pas rêver ! C'est pas une fringue magique, non plus....

Robe soleil H & M - Le nom du collier est impossible à mettre, en googelisant on ne trouve que la femelle du chat toute brûlante !