La nouvelle est tombée ce matin. A l'intérieur de moi, ça a fait comme des ricochets sur l'eau. Un impact, et les rebonds, interminables. Une partie de mon être a envie de crier "noooonnn, revieeeeens". Mais la liberté est la valeur que je place au-dessus de tout. J'apprends, à mes dépens, que parfois, la liberté de l'autre va à contresens de la mienne. Je l'accepte, mais la tristesse n'est pas annihilée pour autant.
Le hasard fait souvent bien les choses dit-on. Il y a quelques jours, nous papotions de vive voix. Tu as eu la gentillesse de me prévenir. Je ne sais pas comment j'aurais réagi. Le savoir et le vivre ne sont point comparables, néanmoins le choc a été atténué. Permets-moi ces quelques mots.
Tes billets ont nourri mon quotidien depuis près de deux ans. Tes métaphores drôlissimes, ta vivacité d'esprit, tes mots délicieux, ton style inné, tes goûts alléchants, ton blog en entier me parle. Tes photos au pied levé, à la sortie de ta douche matinale, sans chichis me touchent. Chacune peut s'en inspirer, s'identifier. Tu es "the girl next door", en mieux. Je me retrouve dans "les Jolies choses de Bénétie", où tes mots ô combien importants, sont au-dessus de la matière et du narcissime ambiant. Les poses trop léchées, la mimique de pseudo mannequin qui tire la tronche pour faire style, ben.. j'achète Vogue, Jalouse, Elle et consorts. Sur ton blog, c'est la vie en pleine poire.
Je me souviens de la découverte de ton blog, de l'euphorie de te retrouver, de mon addiction à tes billets, de ma timidité à te laisser un com, et tes réponses pleine d'humour et d'empathie. Le mien, je l'ai créé, en partie grâce à toi, tu le sais. Aussi impudique que semble cette déclaration affirmée, celles qui bloguent comprendront ce lien qui nous attache lorsque jour après jour, nous babillons, échangeons, dévoilons, osons, enhardies les unes par les autres. Tu as ouvert les portes de la blogo que j'aime. Celle où le fond est puissant et bien moins futile qu'il n'y paraît.
Le cliché de mes pieds est un clin d'oeil. A la minute où je lisais ton post de ces sandales Mango il y a un an déjà, je cliquais sur le site (coïncidence je les porte depuis 7 h ce matin). Un battement de cils à toi, qui as laissé mon premier comm et qui, fidèlement m'a soutenue depuis mon premier jour. Je me sens orpheline, aujourd'hui et qu'on ne me dise plus jamais que la blogo c'est pas la vraie vie, mes larmes, j'te jure qu'elles sont salées.
Je te dis VA ! Va, ma Béné, reste celle que tu es. Continue ton chemin avec ou sans blogo. Nos blogs ne sont que les prémices de notre amitié.
Il y en a d'autres aujourd'hui qui ont l'âme en peine. Fri que je n'ose pas encore lire et Zab qui publiera ce soir.
Voilà Béné, c'est simple, c'est la vie et on t'aime.
Le hasard fait souvent bien les choses dit-on. Il y a quelques jours, nous papotions de vive voix. Tu as eu la gentillesse de me prévenir. Je ne sais pas comment j'aurais réagi. Le savoir et le vivre ne sont point comparables, néanmoins le choc a été atténué. Permets-moi ces quelques mots.
Tes billets ont nourri mon quotidien depuis près de deux ans. Tes métaphores drôlissimes, ta vivacité d'esprit, tes mots délicieux, ton style inné, tes goûts alléchants, ton blog en entier me parle. Tes photos au pied levé, à la sortie de ta douche matinale, sans chichis me touchent. Chacune peut s'en inspirer, s'identifier. Tu es "the girl next door", en mieux. Je me retrouve dans "les Jolies choses de Bénétie", où tes mots ô combien importants, sont au-dessus de la matière et du narcissime ambiant. Les poses trop léchées, la mimique de pseudo mannequin qui tire la tronche pour faire style, ben.. j'achète Vogue, Jalouse, Elle et consorts. Sur ton blog, c'est la vie en pleine poire.
Je me souviens de la découverte de ton blog, de l'euphorie de te retrouver, de mon addiction à tes billets, de ma timidité à te laisser un com, et tes réponses pleine d'humour et d'empathie. Le mien, je l'ai créé, en partie grâce à toi, tu le sais. Aussi impudique que semble cette déclaration affirmée, celles qui bloguent comprendront ce lien qui nous attache lorsque jour après jour, nous babillons, échangeons, dévoilons, osons, enhardies les unes par les autres. Tu as ouvert les portes de la blogo que j'aime. Celle où le fond est puissant et bien moins futile qu'il n'y paraît.
Le cliché de mes pieds est un clin d'oeil. A la minute où je lisais ton post de ces sandales Mango il y a un an déjà, je cliquais sur le site (coïncidence je les porte depuis 7 h ce matin). Un battement de cils à toi, qui as laissé mon premier comm et qui, fidèlement m'a soutenue depuis mon premier jour. Je me sens orpheline, aujourd'hui et qu'on ne me dise plus jamais que la blogo c'est pas la vraie vie, mes larmes, j'te jure qu'elles sont salées.
Je te dis VA ! Va, ma Béné, reste celle que tu es. Continue ton chemin avec ou sans blogo. Nos blogs ne sont que les prémices de notre amitié.
Il y en a d'autres aujourd'hui qui ont l'âme en peine. Fri que je n'ose pas encore lire et Zab qui publiera ce soir.
Voilà Béné, c'est simple, c'est la vie et on t'aime.
14 commentaires:
...
Ouais ...
Mouiii......
Fri, Catherine, Mariga(z) : les filles, j'ai droit aux plus longs comms de la blogo. J'sais, pas grand chose à rajouter. Sauf que parler ça fait aussi du bien... Merci de nous tenir les coudes. Becs, bises et tout.
Je suis bavarde ce matin!
Aller je vais verser ma petite larme...
punaise... vous allez finir par me faire regretter avec vos conneries, là....
j'étais en larmes à la fin de ton billet, ma Sarah... en larmes...
(...)
Voilà, c'est dit.
Un de tes plus jolis billets, l'émotion est plus que palpable, tu m'avais dit que vous étiez très liées, à la limite sans le savoir, ça transpire l'amitié à plein nez tous vos posts d'aujourd'hui !
Si une photo de Nemo/Antonio peut te redonner le sourire, je t'en envoie une caisse de douze !
Ithaa : faut que je te laisse des messages, ma jolie. Je te lis à chaque fois mais la flemme... Pardon !
Béné : Un complot... bizzzzz
Zab : T'sais que j'aime quand tu parles !! On publie toutes aujourd'hui, faut qu'on se rebooste...
Anaïk : et en vrai, tu me le files ???
Ah lala trop beau!
Quel beau billet et que tes mots sont justes...
Laura et Isa : Merci les filles. Quand on est sincère on est toujours juste !!!
Très touchant ton billet ma belle Sarah...
Laura : Merci, ma jolie !
Enregistrer un commentaire