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jeudi 25 octobre 2012

MMM x H & M, carrément tentée



Il y a quelques semaines je rendais un article pour le magazine suisse, encore! (à paraître le 4 novembre). Tout en écrivant, je ne pouvais m'empêcher de penser que trop d'événement finirait par tuer dans l'oeuf... l'événement. Allons, bon, une énième collaboration du mastodonte suédois H&M et un designer. Pas des moindres, avouons-le,  Maison Martin Margiela. Emballée par le designer, MMM, mais sceptique quant à une énième collaboration, j'ai eu du plaisir à écrire ce sujet tout en envisageant pas un seul instant poser les pieds dans un H &M, le 15 novembre prochain (date mondiale de la mise en vente de la collection Maison Martin Margiela pour H&M).




Les articles étant rendus longtemps avant leur publication, le siège suisse du H&M n'était pas en possession du lookbook des vêtements et accessoires MMM. Je savais alors, comme tout un chacun aujourd'hui que ce serait des pièces rééditées. Lorsque les photos sont arrivées, j'ai vraiment, absolument et sincèrement été séduite. Les chaussures aux talons en plexy, pièces iconiques (non, il n'y aura pas de Tabi Shoes ;( par exemple, seront un achat sensé. Le prix reste élevé pour l'enseigne suédoise, chf. 349 (ou 230 euros ! oui, c'est plu cher en Suisse !!), mais elles sont parfaites. La qualité se jugera sur place, entre deux empoignades avec la saleté de fille qui taille comme nous.

 
 
 
 



Je ne vous parlerai pas ici du mystérieux belge Martin Margiela qui n'a jamais salué à la fin d'un défilé, même lorsqu'il dessinait les collections d'Hermès, de la mise en avant de l'équipe plutôt que d'une personne, des blouses de laboratoire blanches que tout le personnel porte, des étiquettes emblématiques,du rachat par  .... Non, ici, juste le choc des photos et une grosse envie de faire le pied de grue le 15 novembre.
 
  
Je reconnais que c'est agaçant ce système de mise en vente : la file, le ticket d'entrée, la ruée... On s'imagine au-dessus de la mêlée, pouffant devant un tel déchaînement. Puis, et je parle pour moi, ce n'est pas une valeur ajoutée, il faut en convenir. C'est humain. Terriblement. 
 
Alors, oui, j'en serai. Et vous ?
 
Et chuuut.... entre nous, Martin Margiela dont on a jamais vu le visage.... en fouinant un peu sur le net. J'ai trouvé...
 

mardi 23 octobre 2012

Sans les bras


 
 
Un manteau simplement posé sur les épaules... Le milieu de la mode a exhumé cette manière d'arborer les vestes. Depuis quelques saisons (ou années, je n’arrive pas à dater précisément.), on redécouvre cette façon élégante et jolie de se couvrir les épaules. Lorsque les températures varient au cours de la journée, pour éviter de le porter sur le bras ou pour instiller une dose d’allure faussement désuète, cette néofaçon d'envisager le port du manteau est séduisante.
 
J’ai immédiatement trouvé cela beau et touchant. Les souvenirs heureux de ma grand-maman qui, toujours, posait sa jaquette (un gilet en langage valaisan) ainsi. Pour sa ballade quotidienne, chez elle ou encore sur un banc dans son jardin. Elle n’aurait jamais osé le faire en ville. Cela aurait été, (autre temps, autres moeurs)  trop négligé. Par habitude (et, je l'avoue parce que les années avançant j'ai de plus en plus froid. ) chez moi ou sur ma terrasse, je pose un vieux gilet ainsi. Il m'arrive de l'entendre murmurer « y a un petit courant, fais attention au bas des reins ».
 
 
 

Un geste inné accompagne souvent cette tendance : les mains enserrent le col, à la naissance du cou. Il est contenu, pudique. Il y a dans ce mouvement, un charme suranné, quelque chose de doux. Lors du dernier défilé milanais de Raf Simons pour Jil Sander en mars, autant que les sublimes manteaux pastel ou framboise éclatée, la gestuelle d'une grâce infinie m’a touchée.   

Il m’a fallu un temps certain pour marcher aisément dans la rue avec un trench/un blazer et même un perf (c'tte folie) sur les épaules. J’ai tenté timidement dans l’anonymat d’une grande ville. Depuis, c’est devenu naturel. Ca ne tient ni trop chaud, ni trop froid, comme disaient les ancien. Mais il faut l'apprivoiser un peu...

 

lundi 10 septembre 2012

Bon marché ne rime pas avec foiré


C'est bien connu, on ne fait pas boire un âne qui n'a pas soif. C'est pareil, lorsque deux hommes s'allient contre vous et tentent de prouver par A+B que vous êtes une victime consentante du marketing, en donnant du "ma pauvre" chaque deux phrases. Au bout de 15 minutes de palabres des deux coqs (mon mari et mon frère), j'ai pensé très fort que "le sage ne dit pas ce qu'il sait et le sot ne sait pas ce qu'il dit". Nous étions, tous les trois, un cas d'école. A savoir, le langage de sourds...
 
A la guerre comme à la guerre, j'ai posé sur la table un sweat gris. Les ignares pensaient que c'était le fameux Zoé Karssen (qui a été livré au moment même où j'écrivais ce post et dont j'abreuve Instagram de clichés de la bête)... Ils avaient le sourire des vainqueurs "t'aimes ce truc pour la marque et c'est tout"...
 
H&M, brodé, 85 % coton, 15% viscose, un prix riquiqui.... Un ange a passé... quelques secondes. Ils ont amené au centre des débats la cosmétique et mon affection pour le packaging. Je ne pouvais nier l'évidence, oui, je craque souvent pour l'emballage, mais pas que.

 
 
Le bonheur avec les produits à portée de bourse :

jeudi 19 avril 2012

Consolider les bases


Un sujet qu'on aborde souvent entre copines, férues de fringues ou pas  : quel est le "juste/le bon" prix pour des vêtements et accessoires hautement indispensables (!) à notre existence. C'est bien le nerf de la sape, non ? Du moins, pour les personnes normalement salariées, avec enfants. On trouve des pépites partout, ça vous le savez aussi bien que moi. Il suffit d'avoir l'oeil ouvert, le radar "matière" immuablement branché. Ouais ouais...

Coutumière d'un modèle précis de t-shirt du suédois à un prix imbattable (chf 7.90) et ceux en lin de Zara, j'ai entassé un nombre certain de ces pulls sous prétexte qu'ils ne coûtent pas une fortune. Résultat, après 6 lavages, ils sont mous et ne me servent plus que pour les séances de "poutze" ou de glandouille. Les coutures vrillent invariablement, le décolleté finit TOUJOURS par trop dégouliner. Ça ne vous est jamais arrivé au milieu d'une grappe d'inconnus de se rendre compte, après-coup, que toute l'assemblée avait une vue béante de votre buste jusqu'au nombril ? Jamais ? Le bol...


lundi 13 février 2012

Un coup d'blanc !



Yes, yes, yes, yes, yes !!!! J'ai oséééé.... De diou cette folie, cet avant-gardisme, cette prise de risque...

Tant d'audace....

mardi 29 novembre 2011

Hapiness*


Mes vêtements favoris, ont toujours une histoire. Une que j'invente pour leur donner une âme, une que je leur accole pour qu'ils prennent vie. Ce peut être le moment de l'achat, la présence d'une amie, les détours et difficultés (le lieu - le montant - la rupture de stock etc...) pour enfin le toucher, la patience. Ou le rêve... Avoir envie, attendre, désirer. Tout cela a un sens.


vendredi 18 novembre 2011

Etre une femme multiple

gifmaker

Ma vie c'est le quotidien sans chichis, sauter à pieds joints dès potron-minet dans les leçons à faire répéter, travailler, écouter, houspiller/guider/comprendre un ado indocile, véhiculer un footeux, penser vitamines et repas complets, trier/laver (trop de) panières de linge sale (ce n'est pas moi qui repasse),


lire, penser, trouver des sujets, assumer des refus, quelques heures hebdomadaires de yoga, prendre des nouvelles des copines (important ça - ces temps-ci, Dieu merci, malgré mes absences, elles y pensent, elles), téléphoner à sa famille.


Si ce n'est pas une vie rêvée, c'est une vie animée et aimée. Dans ce flux continu, il me faut du pratique. Débuter par un rendez-vous puis embrayer par une ballade bucolique avec mon petiot. Sans passer par la case déshabillage. C'est simple...

mercredi 16 novembre 2011

Adapter la mode à soi (et non le contraire)


La mode, la mode, la mode... C'est une chose. L'appliquer à sa propre vie, avec ses limites (financières, de choix, de trouvailles,...), ses restrictions utilitaires (travailler confortablement, véhiculer les enfants, remplir le frigo, ...) en est une autre.
J'aime les tendances comme un jeu cérébral. Presque. Savoir, connaître, repérer parfois, pour comprendre. Allons, ne charrions pas.... Dans notre réalité à nous, pas celle de de Carine Roitfeld (petit film de Loïc Prigent pour W Magazine, ici), nous sommes des personnes normales avec des impératifs de la vraie vie.


Les détails me touchent plus qu'un vêtement qu'il faudrait (je déteste obéir) porter pour être dans le move... (j'ai des expressions vintage).

Voyez, cette fameuse vidéo ...

vendredi 28 octobre 2011

Un foulard au grand coeur


Il y a des vêtements qui sont de vrais traîtres. Ils nous attirent avec des promesses de play-boy puis, lâches, ils nous abandonnent sur le bord de la route. Combien de fois avons-nous choisi une pièce qui au final se révèle une sacrée fumisterie.

Mais l'accessoire. Ah ! l'accessoire. Il a mille ruses. Il se détourne et s'accommode à nos changements physiques ou d'humeur. Si l'on veut esquiver les regards d'une mine épuisée, de cheveux indignes, hop... il camoufle et capte l'attention. Faut dire que celui-ci sera à coup sûr un compagnon de vie.



mercredi 26 octobre 2011

Les photos de soi - bis


Thème récurrent chez moi. Il faut trouver le sujet ou plutôt l'angle. Avec une chemise suédoise à trois sous (vachement bien soit dit en passant) ou une tenue des plus banales, comment écrire un post qui soit intéressant...  Il faut alors broder, colorer, emballer. Prendre un prétexte, un vêtement, une allure, raconter une histoire. Il faut également illustrer et se débrouiller pour les photos... ;0 (y a pire : être filmé - vous allez bien rigoler plus bas...)

Mais comment faire dans une vie ordinaire ? Pas de lumière, pas de photographe (hahaha), plus de mur blanc vide


Un fils qui t'annonce un drame pile au moment où tu prenais une pose ridicule. Oui, le mot est posé. Trouver un sens à son blog tout en se sentant anachronique.

lundi 3 octobre 2011

Du goût malgré tout


Aussi subjectif que complexe à décrire, le goût/le bon/le mauvais. Nous trouvons écho à nos choix dans une caste qui entretient les mêmes penchants. Oserais-je dire "valeurs" ? 

Aucun embarras à avouer que clinquant, logo survalorisé, trends saisonniers en surabondance ne sont pas mes alliés. J'apprécie autant le connu que le passe-partout, le hors-mode que le piège à modasse, les jolies marques que les enseignes du vite-acheté-pas-cher. Souvent, nous ne percevons que ce que nous connaissons. Nos idées sont formatées.

C'est ignorer la situation géographique et les habitudes ethniques ....

dimanche 28 août 2011

La rentrée, ses promesses et mes erreurs


J'ai tant à raconter que je crains de défaire mon garrot et qu'un flux incompréhensible de mots hémorragiques ne vous agressent et ne se perdent dans les nimbes.

La mode, les bouquins, la beauté, l'alimentation, une nouvelle manière de gérer mes dispersements... Je canalise, me retiens et amorce la rentrée qui, toujours, me plonge dans une extase béate. Et j'fais des conneries...

samedi 14 mai 2011

Isabelle, pirate élégant(e)

Photo @ Pierre-Jean

Edit du 14 mai 2011 - Suite à un gros bugg chez blogspot (je ne pouvais plus accéder à mon blog - ça fiche presque la trouille avec l'épisode incroyable de PS & Sony), ce billet a été diffusé quelques heures, puis a disparu  pour réapparaître sans les commentaires déjà déposés.

Pour ceux qui ne connaissent pas (ça existe ??), cette superbe femme à l'allure et au style qui me touchent, n'est autre qu'Isabelle. Oui, Accro de la Mode, c'est elle ! Elle illustre parfaitement l'épisode que j'ai vécu il y a quelques jours. Je vous raconte...

Nous mangions avec un couple de copains. Nous en étions aux prémices de la soirée, à l'apéritif donc ! Nous papotons de tout de rien. Ma copine dit, vous savez une de ces phrases dont on ne sait jamais si elles sont un engagement à une conversation ou des mots polis et convenus.

- Elle est belle ta jaquette*. Tu l'as achetée ici  ? (c'était le même gilet que porte Isabelle)
- Oh ! une H&M (oui en Suisse nous nous exprimons de façon un peu rustre - une H&M ! pfff)

S'ensuivent des écarquillement de pupilles et des NOOOOON. Je crois être sur une autre planète que la mienne. Son mari est pris à parti par des "je t'avais dit... tu vois....". J'ai besoin d'un éclair de lucidité, d'alcool d'un truc pour comprendre. 

dimanche 1 mai 2011

Parenthèse autour d'un pantalon rose


Parfois, enfiler une tenue banale mais inhabituelle pour soi, vous remet face à vous-même.

Trop girly, trop primairement 70's (fleurs + sabots + panier + flare). En un mot, trop ! Je ne me sentais pas en adéquation avec mes habillements ordinaires. J'aurais voulu vous partager tant et tant de pensées. Sur les femmes, sur le garçon manqué que j'étais avant l'arrivée tonitruante des hormones prépubères, de vêtements, de rapports humains. Mais les mots ne sont jamais venus. Oui, tout cela, à 8h45, ce vendredi matin-là. Ce même jour, hasard, Sophie racontait les femmes.

lundi 11 avril 2011

Transgresser les règles


Il y a une chose que les filles d'aujourd'hui ne supportent pas : se retrouver avec les mêmes fringues que leurs copines. Le moutonnage de proximité signe un manque de personnalité, d'assurance. Être unique, hors-mode voilà le néo-crédo de la modeuse. Les boutiques en ligne, les petits créateurs, le vintage, le seconde main n'arrêtent pas de bourgeonner. Et c'est tant mieux ! Ruser, combiner, échanger, customiser, des verbes ô combien appréciés des amoureuses du vêtement.


Je vous l'ai déjà dit, je ne boutique presque pas dans ma charmante ville. Par contre, je ne peux m'empêcher, toutes les semaines, de me lancer à la chasse à la merveille bon marché entre les portants du H & M (je tiens à préciser que ce n'est pas comme s'il y avait d'autres temples...). De la fin du printemps dernier à celle de cet hiver, c'était un peu le no man's land suédois. Cette saison, les designers ont concocté quelques petites pépites. MAIS... il faut tout de même ruser dans cet antre du facile-à-porter.... (et déroger à ses règles !).

jeudi 31 mars 2011

Quand les marques ne sont pas à la hauteur



Deux gilets. Un sujet que je maîtrise depuis des lustres. Ils ont été portés le même nombre de fois. Lavés à deux reprises (l'un en programme doux - l'autre sans y prêter garde). L'un est resté impeccable, l'autre bouloche si bien de l'intérieur (!? - et par ricochet a déglingé le t-shirt que je portais en dessous !) qu'il ressemble à s'y méprendre à une serpillière. L'un vaut DIX fois plus que l'autre (à 4.90 CHF près). L'un est un H&M, l'autre un Circus and Co.


Je n'aime pas dégommer les marques de créateurs. La somme d'énergie, de créativité et de courage qu'il leur faut, forcent mon admiration. Et que ce soit clair, Circus and Co, leurs imprimés et leurs coupes ultra-féminines me touchent toujours. L'autre pièce de la griffe que je me suis offerte, la veste queue-de-pie, est d'une qualité absolument irréprochable. Mais pour ce gilet, je ne décolère pas. Voyez plutôt...

mercredi 23 mars 2011

Fond de dressing


Avec le printemps et ses fournées de régimes sur papier glacé (que j'achète d'ailleurs - on ne peut prévoir les miracles) radinent d'impérieuses envies. Et pourtant force est de constater que les passades sont supplantées par les mêmes désirs inassouvis. Il est plus facile de dénicher des nouveautés, des tocs saisonniers plutôt que des basiques.

Au risque de me répéter, il est aujourd'hui plus simple de trouver du vite-consommable hors de prix ou bon marché plutôt que de belles pièces qui perdurent. J'ai un rapport affectif avec les vêtements. Inenvisageable de les acheter pour les rouler en boule, deux mois plus tard, au fond de mon dressing. Tout ça pour vous dire que je traque sans succès certains indispensables... Comme si les fantasmes n'étaient qu'illusoires !

dimanche 13 mars 2011

Sac Claire Dhelens pour Le Tanneur


J'ai longuement réfléchi à cette traversée du désert de Jésus (le Carême pour ceux qui ne suivent pas le calendrier catholique). Heureusement que j'ai huit mille défauts à corriger. J'ai ainsi évité la survie  sans un sac à portée d'épaule, de coude, de main.

Vous souvenez-vous de ma comparaison sacs/hommes ? Le temps passe et rien ne change... Malgré un épisode que je ne renie pas, le sac demeure mon accessoire fétiche (avec les chaussures, les foulards, les bagues, les braclets, etc.. - hahem... loin de devenir une sainte du dépouillement).


Le "Claire" de Claire Dhelens pour Le Tanneur a été un coup de foudre visuel. J'ai craqué sur sa forme intemporelle, le mélange toile/cuir. Un peu chic mais pas trop, classique mais facilement envisageable pour un style non-sophistiqué. Lorsque je l'ai touché, ça a été pire...

lundi 28 février 2011

Avoir du flare...


Y a des détails qui ne mangent pas de pain, qui ne coûtent pas une blinde et qui ensoleillent la vie.


mardi 22 février 2011

Découvrir que son mari est un homme comme les autres


J'ai eu envie de vous raconter cette anecdote véridique suite à un comm de Flannie.

Nous étions dans une ville portuaire italienne en famille. Je profitais de la situation statique de mon auditoire viril pour dire que décidément l'Italie n'est plus ce qu'elle était. Qu'à l'époque les indigènes étaient si chic, si élégantes. Aujourd'hui, l'uniformisation (en dehors des grandes capitales) détruisait l'essence des peuples (j'adore exagérer) et blablabla et blablabla.... Je ne sais plus qui a proposé "et si on mettait des notes de 1 à 10 pour les gens les plus "stylés" ( ??j'ai pas pu dire ça, ça devait être un enfant). Ce qui était drôle est que nous ne voyions qu'une partie de la rue puisque nous étions assis en face à face. Un mettait une note, les autres ne découvraient la personne jugée qu'au moment où elle passait à hauteur de notre table. 

Jouons les vierges effarouchées. Sur un malentendu, ça pourrait marcher !

Ça ne volait pas haut ! Entre les sandales de trekking, les pantacourts en polyester et les chaînes en or sur les torses poilus, on naviguait aux alentours du 3. Quant tout à coup, mon mari, métamorphosé en loup hagard aux babines retroussées, lance " 12".... Oh ! purée.... z'imaginez bien qu'enfin on allait nous aussi faire miam-miam... Si vous saviez...